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IF Cinéma à la carte – juin 2021

9 juin 2021 - 10 juillet 2021
00:00 - 23:59

Gratuit
Regardez les films sur : IF Cinéma à la carte

L’Institut français propose du 10 juin au 10 juillet 7 films en hommage à la fête de la musique. Lesdits films sont disponibles au visionnage individuel en streaming gratuitement et sans inscription sur la page IFcinéma à la carte.

Chante ton bac d’abord, David André

Chante ton bac d’abord raconte l’histoire tumultueuse d’une bande de copains de Boulogne-sur-Mer, une ville durement touchée par la crise. Un an entre rêves et désillusion. Imaginées par ces adolescents issus du monde ouvrier ou de la classe moyenne, des chansons font régulièrement basculer le réel dans la poésie, le rire et l’émotion.

Sur les chemins de la rumba, David-Pierre Fila

Sur les chemins de la Rumba » nous fait voyager avec une simplicité apparente à travers un cheminement de l’autre côté du monde. Le film nous entraîne à travers les côtes Africaines, du Bassin du Congo, de Cuba, de l’Equateur, en Côte d’Ivoire, dans un voyage, trempé de notes familières, toutes désireuses de fondre l’essence de cet art musical africain avec un regard et des rythmes issues du Bassin du Congo, en somme des sources qui lui ont donné sa forme et son âme. Le résultat c’est l’harmonie habitée de la beauté des hommes et des femmes, et des paysages qu’incarne cette musique, celui du voyage, des échanges, et de la paix.

Quand les mains murmurent, Thierry Augé, 2012

Dans la classe d’initiation à la direction d’orchestre du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, dix étudiants suivent l’enseignement de leur professeur, passionné et chaleureux. Des premiers gestes maladroits au face à face avec l’orchestre symphonique.

French Waves, Julian Starke, 2017

Trente ans d’électro française racontée par ceux qui l’ont faite : de Jean-Michel Jarre à Laurent Garnier, en passant par les nouveaux Jacques ou Rone… Au fil des rencontres d’artistes emblématiques d’hier et d’aujourd’hui, le film raconte une histoire de l’électro française à travers les yeux de la jeune génération. Julian Starke part à la recherche des racines américaines techno et house, nous fait revivre l’époque des raves illégales et retrace le destin peu commun de la French Touch, ce courant musical qui a joué un rôle déterminant pour la reconnaissance des musiques électroniques dans le monde. Mais surtout, il met un coup de projecteur sur la nouvelle vague d’artistes français, héritiers de cette histoire moderne qu’ils s’approprient à leur façon.

Violetta, Julie Deliquet (3ème scène de l’Opéra de Paris)

A la croisée des couloirs labyrinthiques de l’Opéra Bastille et de l’hôpital Gustave- Roussy de Villejuif, deux trajectoires d’actrices au seuil d’incarner la maladie. Jouant des ressemblances entre les deux espace-temps, et du trouble quant à ce qui tient de la fiction ou de la réalité, violence et passion des sentiments des deux femmes vont si bien se mêler qu’elles témoigneront de différents rapports au tragique et à la représentation.

Les Divas du Taguerabt, Karim Moussaoui (3ème scène de l’Opéra de Paris)

Karim Moussaoui s’interroge sur ce qui se rapproche le plus d’un Opéra dans son pays, l’Algérie. Accompagné d’une équipe de tournage, il se rend dans le désert à la recherche de femmes dont on lui a dit qu’elles chantaient le « Taguerabt » (chant du Gourara) dans des grottes. Au fil de leur voyage, un doute s’installe : ce lieu existe-t-il vraiment ?

Vers le silence, Jean-Stéphane Bron (3ème scène de l’Opéra de Paris)
Après la sortie au cinéma du film-documentaire « L’Opéra » en avril 2017, le réalisateur Jean-Stéphane Bron a suivi le Directeur musical de l’Opéra de Paris, Philippe Jordan, et l’Orchestre de l’Opéra de Paris dans le cadre des répétitions de la Symphonie n°9 de Gustav Mahler dont l’interprétation repose paradoxalement sur… le silence.


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